WARES OF HIZEN
which a mêlée of two squadrons takes place within the limits of a dish. People educated in a school of such unnatural art would not be at all likely to pay profitable prices for porcelain decorated after the fashions of Kakiemon. But, on the other hand, the Dutch merchants at Deshima foresaw rich possibilities in the porcelain trade if ware suited to European markets could be manufactured. It happened that the factory in Deshima was then under the charge of a Dutchman who possessed a fertile fancy and some knowledge of designing. Jacquemart, quoting from Les Ambassades Mémorables, thus describes the influence exercised by this man upon the porcelain of Japan: "Pendant que le sieur Wagenaar se disposait à retourner à Batavia, il reçut 21,567 pièces de porcelaine blanche, et un mois auparavant il en était venu à Déshima une très-grande quantité, mais dont le débit ne fut pas grand, n'ayant pas assez de fleurs. Depuis quelques années les Japonais se sont appliqués à ces sortes d'ouvrages avec beaucoup d'assiduité. Ils y deviennent si habiles que non seulement les Hollandais, mais les Chinois mêmes en achètent …. Le sieur Wagenaar, grand connaisseur et fort habile dans ces sortes d'ouvrages, inventa une fleur sur un fond bleu qui fut trouvée si belle que de deux cents pièces où il la fit peindre, il n'en resta pas une seule qui ne fût aussitôt vendue, de sorte qu'il n'y avait point de boutique qui n'en fût garnie."
Especially interesting as one of the very few trustworthy allusions to Japanese porcelain to be found in European records, this extract is noteworthy, in the first place, because it confirms the dates obtained by independent research into Japanese annals. For the Ambassades Mémorables here speak of the porcelain
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