jouissoit de la facilité d'avoir parmi ses bayadères celles qui étoient les plus renommées par leurs talens, leurs graces, leur beauté, etc. Ces bayadères sont des danseuses supérieures dans leur genre; tout danse et tout joue en même-tems chez elles; leur tête, leurs yeux, leurs bras, leurs pieds, tout leur corps, semblent ne se mouvoir que from enchanter; elles sont d'une incroyable légèreté, et ont le jarret aussi fort que souple; leur taille est des plus sveltes et des plus élégantes, et elles n'ont pas un mouvement qui ne soit une grace. La plus âgée de ces femmes n'avoit pas plus de seize à dixsept ans. Aussi tôt qu'elles atteignoient cet âge, on les réformoit, et alors elles alloient courir les provinces, on s'attachoient à des pagodes, dans lesqueles elles étoient entretcnues, et ou leurs charmes étoient un des meilleurs revenus des brames."
General Burton narrates *[1] how a civilian of the old school built a house at Bhavāni, and established a corps de ballet, i.e., a set of nautch girls, whose accomplishments actually extended to singing God save the King, and this was kept up by their descendants, so that, when he visited the place in 1852, he was "greeted by the whole party, bedizened in all their finery, and squalling the national anthem as if they understood it, which they did not." With this may be contrasted a circular from a modern European official, which states that "during my jamabandy (land revenue settlement) tour, people have sometimes been kind enough to arrange singing or dancing parties, and, as it would have been discourteous to decline to attend what had cost money to arrange, I have accepted the compliment in the spirit in which it was offered. I should, however, be glad if you would
- ↑ * An Indian Olio.