Page:Christopher Wren--the wages of virtue.djvu/12

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Vivandière du régiment,
C’est Catin qu’on me nomme;
Je vends, je donne, je bois gaiment,
Mon vin et mon rogomme;
J’ai le pied leste et l’œil mutin,
Tintin, tintin, tintin, r’lin tintin,
Soldats, voilà Catin!

Je fus chère à tous nos héros;
Hélas! combien j’en pleure,
Ainsi soldats et généraux
Me comblaient à tout heure
D’amour, de gloire et de butin,
Soldats, voilà Catin!”

Béranger.