Figure 127 is a drawing of another of this class exhibited in the Museum of Besançon, which differs yet more in shape, though, unlike the last, it has only a single clip on each side.
fig. 127 |
M. Megnin,[1] who does not appear to have noticed the existence of the class to be next described, evidently believes the two kinds to have been employed as chaussures for domestic animals. 'It is certain, indeed, that these shoes could only have been worn by very slowpaced pack animals, such as mules and oxen, and that the name given to them by the Abbé Cochet, hippo-sandals, is not suitable; it ought to be mulo-sandals or bu-sandals. This last designation was originated by M. Delacroix,[2]
- ↑ La Maréchalerie Française, p. 40. Paris, 1867.
- ↑ Mémoires de la Soc. d'Emulation du Doubs, 1864.
d'ouvriers toujours disposés à en iniposer ou à se faire illusion à euxmêmes, et enfin, parce que notre expérience nous a montré combien il est difficile que le pied du cheval se soit suffisamnient conservé pour être aussi bien restitué, même par I'homme le plus compétent. Quoique M. de Widranges soit un fort honnête et trés-consciencieux archéologue, je lui demanderai la permission de citer, sous sa seule responsabilité, les faits qui précédent, faits dont I'lmportance est d'autant plus grand que jusqu'ici, en France, ils sont seuls de leur genre.'—Le Tombeau de Chihléric, p. 154.