du Voyage en Orient de Guillaume de Rubruk”, in vol. iv of the publications of the Geographical Society of Paris, “Recueil de Voyages et de Mémoires”, pp. 205-296.
Here, and to both the foregoing journeys, belongs the following—
Quelques observations du Moine Bacon touchant les parties septentrionales du Monde, avec les relations touchant les Tartares; tirées de l’histoire de R. Wendover et de Mathieu de Paris, avec quelques lettres sur le même sujet; où l’on fait voir l’inhumanité, les mœurs sauvages, la rage et la cruauté des Tartares; leurs invasions, par lesquelles ils menacent de détruire la Chrétienté; avec une lettre de l’Empereur pour demander du secours au Roi d’Angleterre contre les Tartares dont on fait voir les rapines, les cruautez, et les meurtres; mais ils y sont courageusement repoussez. In P. Bergeron’s Voyages, etc., vol. ii.
Both Forster, “Gesch. d. Entdeck”, p. 127-146, and Sprengel, “Gesch. d. Entdeck”, p. 288-299, have supplied explanatory and very learned remarks upon the travels of Rubruquis.
(9.)
Marco Polo. 1271.
Marco Polo, on whom Malte Brun has bestowed the inappropriate[1] appellation of the “créateur de la géographie moderne, l’Humboldt du treizième siècle,” was descended from a noble family of Venice. His father Niccolò Polo, and his uncle Matteo Polo,
- ↑ We say inappropriate, because with all the merits of Marco Polo he could lay no claim to an acquaintance with science and philosophy, while in these the illustrious Humbolt even at this day stands preeminent.