another. Among the Mbocobis of South America, the Moon is a man and the Sun his wife, and the story is told how she once fell down and an Indian put her up again, but she fell a second time and set the forest blazing in a deluge of fire." Or take the curious conversation of some Algonquin Indians with one of the Jesuit missionaries of the seventeenth century:[1] "Je leur ay demandé d'ou venoit l'Eclipse de Lune et de Soleil; ils m'ont respondu que la Lime s'éclipsoit ou paroissoit noire, à cause qu'elle tenoit son fils entre ses bras, qui empeschoit que l'on ne vist sa clarté. Si la Lune a un fils, elle est mariée, ou l'a été, leur dis-je. Oüy dea, me dirent-ils, le Soleil est son mary, qui marche tout le jour, et elle toute la nuict; et s'il s'éclipse, ou s'il s'obscurcit, c'est qu'il prend aussi par fois le fils qu'il a eu de la Lune entre ses bras. Oüy, mais ny la Lune ny le Soleil n'ont point de bras, leur disois-je. Tu n'as point d'esprit; ils tiennent tousiours leurs ares bandés deuant eux, voilà pourquoy leurs bras ne paroissent point. Et sur qui veulent-ils tirer? Hé qu'en scavons nous." Nevertheless, the American who helped the Sun to her feet could scarcely hope to attain to the privileged audacity of the druids of ancient Erinn, who maintained that they were the creators of the heavens and the earth.[2] On the other hand, had there been a missionary to question the ancient Aryans on the difficulties which their ideas of the origin of things presented to his mind, he would doubtless have often received in effect the Algonquin reply, Hé qu'en savons nous?