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O. C. Marsh, American Journal of Science, 1859, vol. lxix. |
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Looking at the list of distinguished names here marshalled in battle array, it must be allowed that, in penning the following words, Dr Dubois has scored a point against his opponents, though, perhaps, at the expense of a little pardonable sarcasm :—
"Ein im Vergleiche mit normalen menschlichen so kleiner und in seiner Form so affenähnlicher Schadel, dass er von nicht wenigen erfahrenen Anatomen für einen Affenschadel erklart wurde, kann nicht menschlich sein ! " (Abdruck aus Anat. Anzeiger, vol. xii., 1896. p. 13).
G. de Mortillet on Dubois' Critics.
But it remains for G. de Mortillet to complete the irony of the situation. This is how he classifies the controversialists in a recent article in the Revue Mensuelle de I'École d'Anthropologie, entitled "Précurseur de l'homme et Pithecanthrope" :—
"La découverte d'Eugène Dubois fit grand bruit. Le soin avec lequel il l'a publié, l'activitié qu'il a deployée, et l'heureuse idée qu'il a eue de présenter les pièces originales dans tous les grands centres de travail l'ont fait étudier et discuter de toutes parts. Mais les avis ont et on ne peut plus partagés. Ils se sont tout d'abord parqués par nationalités. Les Anglais, bien que compatriotes de Darwin, ont fait de grands efforts pour démontrer qu'il ne s'agit que d'un homme, un homme tres inferieur, mais deja un véritable homme. Les Allemands, au contraire, se sont froidement ingeniés a prouver qu'il ne s'agit que d'un singe. Les Français ont purement et simplement adopté les déterminations du jeune savant hollandais. C'était chose facile pour des compatriotes de Lamarck. C'était chose d'autant plus naturelle que la division en parts a peu près