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THE WENTWORTH PAPERS.


London, March 22, 1709.

Dear Brother,

Having noe news to send you, I hope these prints may be a diversion to you. Greg's Paper being out of print about the time there was a talk of looking into that matter, 'twas reprinted again, and I don't remember I ever sent it you. The speech of Caius M—— has been out some time, but lately come to my hands, and I had compared it with original in Sallust, and had coppy'd out the latine for you to have compared, but this morning I mett with this other translation with the English and latine together; and that translator supposes Lord H—— to be the Author of the first, which I was glad to hear somebody named for't, for among all my acquaintance I cou'd have no guesses made of him, tho' every body own it a good thought and handsomely exprest.

[Lady Wentworth.]

March 29, 1709.

Lady Wharten is very ill of the collick, which has put her in convation fitts ; the world is soe mallistious as to say its only becaus she has no mynde to goe to Ireland.

Acte du Parlem', par lequel il étoit obligé de produire sa Femme devant quelques Personnes dignes de Foy. La dessus le Duc de Montague fit voir sa Femme à Madame d'Auverquerque, Tante du Comte de Bath, mais comme cette derniere Dame n'avoit jamais connu cette Duchesse, et par consequent on auroit peu lui en imposer, les Parties interessés, et le Public même croyoient toujours qu'elle étoit morte. Mais comme il se trouve qu'elle est en vie, la Comtesse de Thanet sa sœur et quelques autres de ses Parens ont presenté Requête au Grand Chancelier, demandant qu'on examine si elle est effectivement lunatique, auquel cas S. M. est en droit de sa Personne et de son Douaire comme elle trouvera à Propos. On croit que S. M. ordonnera qu'elle reste dans la maison du jeune Duc de Montague, qui par là jouira de son Douaire pendant sa vie.

22 Mch.-2 Apl., 1708-9.

Samedi dernier la Duchesse de Newcastle et la Comtesse de Thanet allerent rendre visite à la Duchesse Douairiere de Montague, leur sœur, et tacherent inutilement de lui persuader de sortir de la maison de ce Duc, ou elle a été renfermée depuis tant d'années.