confidence and humility, "their friend, master, and servant, Hippolyte Taine." The prettiest of them all is aptly christened—
"La Pratique
"'Cultive ton jardin,' disaient Goethe et Voltaire;
Au-delà ton ouvrage est caduc et mort-né;
Enfermons nos efforts dans un cercle borné;
Point d'écarts; ne cherchons que le del sur la terre.
"Ainsi fait notre ami. Comme un vieux militaire,
Il brosse son habit sitôt qu'il a diné;
Dans son domaine étroit, librement confiné,
Ministre de sa peau, tout à son ministère.
"Il s'épluche, il se lisse, il sait ce qu'il se doit.
Pauvre petit torchon moins large que le doigt,
Sa langue est tour a tour éponge, étrille ou peigne.
"Son nez rejoint son dos; il lèche en insistant;
Pas un poil si lointain que la râpe n'atteigne.
Goethe, instruit par Voltaire, en a-t-il fait autant?"
No Frenchman, save Baudelaire and Gautier, have carried their appreciation to a higher pitch than did Taine; and, if his sentiment lacks the fervid grace of Baudelaire's, it is of a simpler, saner, and more comprehensible order. How far the author of "Fleurs du Mal" was sincere in his fantastic passion for cats; how far he diverted himself by provoking the curiosity of the world, or by alarming its prejudices; and how far the world—its curiosity and prejudices being well aroused—exag-