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THE SYMBOLIST MOVEMENT
also whom, under all forms, thou hast always loved. At each of thine ordeals I have dropt yet one more of the masks with which I veil my countenance and soon thou shalt see me as I am!" And in perhaps his finest sonnet, the mysterious Artémis, we have, under other symbols, and with the deliberate inconsequence of these sonnets, the comfort and despair of the same faith.
La Treizième revient. . . C’est encor la première;Et c’est toujours la seule,—ou c’est le seul moment:Car es-tu reine, ô toi ! la première ou dernière?Es-tu roi, toi le seul ou le dernier amant? . . .
Aimez qui vous aima du berceau dans la bière;Celle que j’aimai seul m’aime encor tendrement:C’est la mort—ou la morte. . . Ô délice! ô tourment!La Rose qu’elle tient, c’est la Rose trémière.
Sainte napolitaine aux mains pleines de feux,Rose au cœur violet, fleur de sainte Gudule:As-tu trouvé ta croix dans le désert cieux?
Roses blanches, tombez! vous insultez nos dieux:Tombez, fantômes blancs, de votre ciel qui brûle:—La sainte de l’abîme est plus sainte à mes yeux!
Who has not often meditated, above all what artist, on the slightness, after all, of the link which holds our faculties together in that sober health of the brain which we call