In Lorraine in 1589 a male witness stated that 'indem wird er eine Höle, welche sie nennen die Morelianische Klippe, gewahr, darinnen sechs Weiber mit Larven umb ein Tisch voll guldernen und silbernen Geschieren herumb tanzten'.—Bernhardt's Nicolaea said that she had seen in an open field 'mitten am hellen Tage, einen Tantz von Männern und Weibern, und weil dieselben auff eine besondere Weise und hinterrücks tantzten, kam es ihr frembd für, stunde derhalben still, und sahe mit allem Fleiss zu da ward sie gewahr, das etliche in dem Reyhen waren so Geiss und Kuhfuss hatten'.[1] At North Berwick in 1590 seven score witches 'danced endlong the Kirk yard. John Fian, missellit [muffled, masked] led the ring.'[2] The witches whom Boguet examined in 1598 confessed to using masks: 'Les Sorciers dansent doz cõtre doz, pour ne pas estre recogneus; pour la mesme raison ils se masquent encor' auiourd'huy pour la plus part.—Ils se masquent pour le iour d'huy, selon que Clauda Paget l'a confessé, & auec elle plusieurs autres.—Estienne Poicheux rapportoit que partie des femmes, qu'elle auoit veuës au Sabbat, estaient voilées. Et pour cela aussi les Lombards par leurs loix les appellent Mascas.'[3] In 1609 de Lancre points out that in the Basses-Pyrénées there were two grades of witches: 'Il y en a de deux sortes. Aucũs sont voilez pour doñer opinion aux pauures que ce sont des Princes & grãds seigneurs. Les autres sont decouuerts & tout ouuertemèt dàcent, & ceux cy ne sont si prés du maistre, si fauoris ne si employez.'[4] In 1613 Barbe, the wife of Jean-Remy Colin de Moyemont, said that 'elle a veu dancer les assistans en nombre de sept à huict personnes, partie desquelles elle ne cognoissoit ad cause des masques hideux qu'elles auoient de noire.'[5]
Josine Deblicq in Hainault (1616) was asked, 'Que savez vous de la troisième danse? R. Elle eut lieu au Rond-Chèneau, sur le chemin de Nivelles, près d'une fontaine. Il y avait bien 21 ou 22 femmes, toutes masquées, chacune avec son amoureux accoutré d'un déguisement bleu, jaune ou noir.'[6] In 1652 a French witch 'dist qu'elles dansoient les dots l'une à