duction to him, given by a man-witch to a would-be proselyte, becomes quite credible. It is worth quoting verbatim:
'Monseigneur, d'autant qu'il me faut retirer de la Religion des Chrestiens, afin que ie multiplie vostre party, duquel estant, il est raisonnable que ie vous glorifie et assemble tant de gens que ie pourray, ie vous enuoye ce porteur pour estre du nombre: c'est pourquoy ie vous prie de l'aider en ses amours.'
Satan's reply to the novice shows a distinctly human trace of temper:
'Vous autres Chrestiens vous estes perfides et obstinez: Quand vous auez quelque violent desir, vous vous departez de vostre maistre, et auez recours à moy: mais quand vostre desir est accompli, vous me tournez le dos comme à vn ennemi, et vous en retournez à vostre Dieu, lequel estant benin et clement, vous pardonne et reçoit volontiers. Mais fay moy vne promesse escrite et signee de ta main, par laquelle tu renonces volontairement ton Christ et ton Baptesme, et me promets que tu adhereras et seras auec moy iusqu'au iour du iugement; et apres iceluy tu te delecteras encore auec moy de souffrir les peines eternelles, et i'accompliray ton desir.'[1]
4. As an Animal
In many religions the disguising of the principal personage—whether god or priest—as an animal is well known. The custom is very ancient—such disguised human beings are found even among the palaeolithic drawings in France; and on a slate palette belonging to the late pre-dynastic period of Egypt there is a representation of a man disguised as a jackal and playing on a pipe.[2] The ritual disguise as an animal is condemned, with great particularity, as devilish, in the Liber Poenitentialis of Theodore of the seventh century (see supra, p. 21), showing that it continued in force
