228 THE COKBHIDGE LAXX. Ill introducing here the following observations by a dis- tinguished corresponding member of our Society, no apology will be necessar}'. The brief outline of the Baron de Witte's view of the details displayed on the Corbridgc lanx was in- deed not destined for publication. In connection, however, with the difficult mythological details under consideration, the opinion of so erudite a student of antiquities, whoso attention has long been specially devoted to the elucidation of classical art, as displayed in the most precious monuments of Greek and lloman iconography, cannot fail to prove a welcome supplement to the foregoing dissertation, which was composed before the receipt, and quite independently of the Laron's communication. " Je n'ai pas oublie la promesso que jc vous ai faite de rcvoir avec soin Ic sujet de I'Apollon Ilypcrborcen sur lo liuhv d'argent de Cor&topitum. " II me semble que le sujet peut s'cxpliquer de la maniere suivante. "Apollon arrive du pays des Ilyperboreens a Delphos. II tient d'unc main des cpis, et de I'autre son arc. Le temple de Delphos est indique par Todicule supports par deux colonnes d'ordre Corinthicn. Un autel forme de plu- sicurs assises de grosses pierres est place devant le Dieu. Sa lyre est posee a terre centre une des colonnes du temple. A scs pieds est le griffon, animal consacre tout particuliere- mcnt Ti I'Apollon llyperborcen : plusicurs monuments mon- trcnt Apollon monte sur un griflbn. " Une femme voilec assise sur un siege sans dossier, le dos tourn(* a Apollon, se retourne vers le Dieu ct cxjirime par sa main gauche levee son ctonnement. Dans sa main droito se voit un objct difficile a cxpliquer. Est-ce le plectrum f Est-cc un rouleau {vulumcn) / Est-ce un autre attribut ? {)w pourrait penser aux pn'mices envoy(^es ])ar les Ilypcr- bon'cns a I'Apollon do Prasies dans I'Attique (Tans. i. 31, 2), 7as l(. a-uf)U'i K€Kf,vi(>baL ixiv (r KaXdyn] irvfrni'. Cc SCrolt UHO dos vicrgcs hyporbon'einies, Opis ou Ilccaergo (Pans. v. 7, 4), qui tiendroit ks prcmiccs enveloppues dans de la paillo do froment. S'il s'.'igissait d'un monument qui a}>partcnait a la belle /•poquc do I'art, on pourroit domier une explication plus sure ct basec sur los traditions religieuscs ; mais comme nous avoiiH sous Ics ycux un momnnont de basse epoque, oxi souvent les idces rcligicuses sont mOlccs ct confonducs sans