souvent. Il va des gouvernants aux gouvernés. La tendance des révolutions est de le ramener toujours parmi les gouvernants. Lorsqu’il est à la tête des sociétés, il marche hardiment, car il conduit. Lorsqu’il est dans la masse, il marche à pas lents, car il lutte.—Napoleon III., Des Idées Napoléoniennes. La loi du progrès avait jadis l’inexorable rigueur du destin; elle prend maintenant de jour en jour la douce puissance de la Providence. C’est l’erreur, c’est l’iniquité, c’est le vice, que la civilisation tend à emporter dans sa marche irrésistible; mais la vie des individus et des peuples est devenue pour elle une chose sacrée. Elle transforme plutôt qu’elle ne détruit les choses qui s’opposent à son développement; elle procède par absorption graduelle plutôt que par brusque exécution; elle aime à conquérir par l’influence des idées plutôt que par la force des armes, un peuple, une classe, une institution qui résiste au progrès.—Vacherot, Essais de Philosophie Critique, 443. Peu à peu l’homme intellectuel finit par effacer l’homme physique.—Quetelet, De l’Homme, ii. 285. In dem Fortschritt der ethischen Anschauungen liegt daher der Kern des geschichtlichen Fortschritts überhaupt.—Schäfer, Arbeitsgebiet der Geschichte, 24. Si l’homme a plus de devoirs à mesure qu’il avance en âge, ce qui est mélancolique, mais ce qui est vrai, de même aussi l’humanité est tenue d’avoir une morale plus sévère à mesure qu’elle prend plus de siècles.—Faguet, Revue des Deux Mondes, 1894, iii. 871. Si donc il y a une loi de progrès, elle se confond avec la loi morale, et la condition fondamentale du progrès, c’est la pratique de cette loi.—Carrau, Ib. 1875, v. 585. L’idée du progrès, du développement, me paraît être l’idée fondamentale contenue sous le mot de civilisation.—Guizot, Cours d’Histoire, 1828, 15. Le progrès n’est sous un autre nom, que la liberté en action.—Broglie, Journal des Débats, 28th January 1869. Le progrès social est continu. Il a ses périodes de fièvre ou d’atonie, de surexcitation ou de léthargie; il a ses soubresauts et ses haltes, mais il avance toujours.—De Decker, La Providence, 174. Ce n’est pas au bonheur seul, c’est au perfectionnement que notre destin nous appelle; et la liberté politique est le plus puissant, le plus énergique moyen de perfectionnement que le ciel nous ait donné.—B. Constant, Cours de Politique, ii. 559. To explode error, on whichever side it lies, is certainly to secure progress.—Martineau, Essays, i. 114. Die sämmtlichen Freiheitsrechte, welche der heutigen Menschheit so theuer sind, sind im Grunde nur Anwendungen des Rechts der Entwickelung.—Bluntschli, Kleine Schriften, i. 51. Geistiges Leben ist auf Freiheit beruhende Entwicklung, mit Freiheit vollzogene That und geschichtlicher Fortschritt.—Münchner Gel. Anzeigen, 1849, ii. 83. Wie das Denken erst nach und nach reift, so wird auch der freie Wille nicht fertig geboren, sondern in der Entwickelung erworben.—Trendelenburg, Logische Untersuchungen, ii. 94. Das Liberum Arbitrium im vollen Sinne (die vollständig aktuelle Macht der Selbstbestimmung) lässt sich seinem Begriff zufolge schlechterdings nicht unmittelbar geben; es kann nur erworben werden durch das Subjekt selbst, in sich moralisch hervorgebracht werden kraft seiner eigenen Entwickelung.—Rothe, Ethik, 1. 360. So gewaltig sei der Andrang der Erfindungen und Entdeckungen, dass "Entwicklungsperioden, die in früheren Zeiten erst in Jahrhunderten durchlaufen wurden, die im Beginn unserer Zeitperiode noch der Jahrzehnte bedurften, sich heute in Jahren vollenden, häufig schon in voller Ausbildung ins Dasein treten."—Philippovich, Fortschritt und Kulturentwicklung, 1892, i., quoting Siemens, 1886. Wir erkennen dass dem Menschen die schwere körperliche Arbeit, von der er in seinem Kampfe um’s Dasein stets schwer niedergedrückt war und grossenteils noch ist, mehr und mehr durch die wachsende Benutzung der Naturkräfte zur mechanischen Arbeitsleistung abgenommen wird, dass die ihm zufallende Arbeit immer mehr eine intellektuelle wird.—Siemens, 1886, Ib. 6.
36 Once, however, he wrote:—Darin könnte man den idealen Kern der Geschichte des menschlichen Geschlechtes überhaupt sehen, dass in den Kämpfen, die sich in den gegenseitigen Interessen der Staaten und Völker vollziehen, doch immer höhere Potenzen emporkommen, die das Allgemeine demgemäss umgestalten und ihm wieder einen anderen Charakter verleihen.—Ranke, Weltgeschichte, iii. 1, 6.
37 Toujours et partout, les hommes furent de plus en plus dominés par