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Page:The Raven; with literary and historical commentary.djvu/56

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Translations.

XVII.

"Que ce mot, soit le signal de ton départ, oiseau ou démon!" criai-je en me redressant d'un bond. "Reprends ton vol à travers l'orage, regagne la rive plutonienne! Ne laisse pas ici une plume noire pour me rappeler le mensonge que tu viens de proférer! Abandonne-moi à ma solitude, quitte ce buste au-dessus de ma porte; retire ton bec de mon cœur, retire ton spectre de mon seuil."

Le corbeau répéta: "Jamais plus!"


XVIII.

Et le corbeau, immobile, demeure perché, toujours perché sur le buste blanc de Pallas, juste au-dessus de ma porte; son regard est celui d'un démon qui rêve, et la lumière de la lampe, qui l'inonde, dessine son ombre sur le parquet; de cette ombre qui tremble sur le parquet, mon âme

Ne sortira jamais plus!


Another of the numerous translations into French of The Raven, and one which, for many reasons, deserves citation in full is that made by Stèphane Mallarmé, the poet, the translator of several of Poe's works. The magnificent folio form in which Monsieur Mallarmé introduced Le Corbeau to his countrymen, in 1875, was illustrated by Manet with several characteristic drawings. This rendering reads thus—