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Page:The Raven; with literary and historical commentary.djvu/57

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Translations.
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I.

Une fois, par un minuit lugubre, tandis que je m'appesantissais, faible et fatigué, sur maint curieux et bizarre volume de savoir oublié—tandis que je dodelinais la tête, somnolant presque: soudain se fit un heurt, comme de quelqu'un frappant doucement, frappant à la porte de ma chambre—cela seul et rien de plus.


II.

Ah! distinctement je me souviens que c'était en le glacial Décembre: et chaque tison, mourant isolé, ouvrageait son spectre sur le sol. Ardemment je souhaitais le jour—vainement j'avais cherché d'emprunter à mes livres un sursis au chagrin—au chagrin de la Lénore perdue—de la rare et rayonnante jeune fille que les anges nomment Lénore: de nom pour elle ici, non, jamais plus!


III.

Et de la soie l'incertain et triste bruissement en chaque rideau purpural me traversait—m'emplissait de fantastiques terreurs pas senties encore: si bien que, pour calmer le battement de mon coeur, je demeurais maintenant à répéter "C'est quelque visiteur qui sollicite l'entrée, a la porte de ma chambre—quelque visiteur qui sollicite l'entrée, a la porte de ma chambre; c'est cela et rien de plus."