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Page:The Raven; with literary and historical commentary.djvu/69

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Translations.
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Et sur le buste austère et pâle de Pallas,
L'immuable corbeau reste installé sans trève;
Au-dessus de ma porte il est toujours, hélas!
Et ses yeux sont en tout ceux d'un démon qui rêve;
Et l'eclair de la lampe, en ricochant sur lui,
Projette sa grande ombre au parquet chaque nuit;
Et ma pauvre âme, ors du cercle de cette ombre
Qui git en vacillant—là—sur le plancher sombre,

Ne montera plus, jamais plus!


Another of the many attempts to transfer to the French language Poe's poetic chef d'œuvre was made by Monsieur Leo Quesnel. This attempt, the translator did not claim any higher title for it, was published in la Revue Politiqite et Littéraire, and runs as follows:—

Le poète est, pendant une sombre nuit de décembre, assis dans bibliothèque, au milieu de ses livres, auxquels il demande vainement l'oubli de sa douleur. Une vague somnolence appesantit ses yeux rougis par les larmes.

Un léger bruit le réveille. C'est quelqu'un qui frappe à la porte, sans doute? Que lui importe? Sa tête retombe.

Un autre bruit se fait entendre. C'est la tapisserie que, du dehors; quelqu'un soulève peut-être? Que lui importe? Il se rendort.